Stéphane Mallarmé | un coup de dés... | ||||
POESIES
Tristesse d'été |
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Le soleil, sur la table,
ô lutteuse endormie, De ce blanc Flamboiement
l'immuable accalmie Mais ta chevelure est
une rivière tiède, Je goûterai le
fard pleuré par tes paupières, |
Première version de "Tristesse d'été", 1864 | TRISTESSE
D'ETE
Le soleil,
sur la mousse où tu t'es endormie, De ce
blanc flamboiement l'immuable accalmie Ta chevelure,
est-elle une rivière tiède Je veux
boire le fard qui fond sous tes paupières |